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Vainqueur à Monaco, vigneron en Italie : L’extraordinaire histoire de Jarno Trulli

En résumé

  • La suite de la carrière du natif de Pescara aurait pu être à la hauteur de ce que vivra Renault (titré en 2005 et 2006 avec Alonso).
  • Mais de l’aveu du pilote, tout ne fut pas bien géré, et le rêve s’évapora avec le départ de Toyota fin 2009, en pleine crise économique.
  • Fin 2012, il raccroche le casque et se consacre à Castorani, le domaine viticole qu’il a acquis avec des amis en 1998.

Si Jarno Trulli avait pu choisir avec quelle boisson arroser son podium à Monaco, il aurait sûrement troqué le champagne pour du vin. Car c’est dans la viticulture que s’est reconverti, dans le respect de la tradition familiale, le pilote qui dirige aujourd’hui son propre domaine dans les Abruzzes. Rencontre et interview décontractée avec le vainqueur du GP de Monaco 2004, 20 ans après son triomphe en Principauté.

Monaco 2004, le jour de gloire de Jarno Trulli

Remporter une seule course dans sa carrière en F1, et que cette victoire soit à Monaco. C’est le rêve qu’a réalisé Jarno Trulli en 2004, il y a tout juste 20 ans. Car s’imposer dans les rues de Monte-Carlo, sur l’un des tracés les plus exigeants de la catégorie reine, reste l’une des plus belles preuves de talent qu’un pilote puisse offrir.

Il y a deux décennies, Trulli était l’un des pilotes de l’écurie Renault, qu’il avait rejointe en 2002 sur les conseils de Flavio Briatore. Son équipier était un certain Fernando Alonso. C’était la 6ème saison de l’Italien en F1, après des débuts chez la modeste Minardi et des passages chez Prost et Jordan.

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Chez Renault, Trulli décrochera sa seule victoire en F1 et signera de belles courses. Mais ses différends avec Briatore auront raison de lui fin 2004, à trois GP de la fin de saison.

Toyota, des promesses non tenues

La suite de la carrière du natif de Pescara aurait pu être à la hauteur de ce que vivra Renault (titré en 2005 et 2006 avec Alonso). Trulli rejoint en effet Toyota pour mener une équipe qui visait le titre mondial. Mais de l’aveu du pilote, tout ne fut pas bien géré, et le rêve s’évapora avec le départ de Toyota fin 2009, en pleine crise économique.

Le dernier chapitre de l’aventure de Trulli en F1 fut aussi modeste que ses débuts chez Minardi. Cette fois avec Lotus Racing, une nouvelle écurie qui ne quittera jamais le fond de grille et ne marquera aucun point. Fin 2012, il raccroche le casque et se consacre à Castorani, le domaine viticole qu’il a acquis avec des amis en 1998.

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Rédigé par Luc Jarson

Passionné par l'univers des voitures de sport et des supercars, je consacre mes journées à explorer le monde des bolides, des modèles classiques aux véhicules de haute technologie. Mon objectif est de dévoiler les secrets de ces machines de rêve et de partager avec vous des découvertes captivantes. Ma curiosité me guide vers les tendances et innovations qui sauront éveiller votre intérêt.

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