En résumé
- Lancée en 1979, la Mercedes-Benz Classe G ne cesse de captiver les amateurs de véhicules robustes grâce à une durabilité exceptionnelle, confirmée par les chiffres impressionnants de la marque.
- Bien que moins de 14 000 unités aient été produites jusqu’à l’arrêt de la production en 1992, y compris un petit nombre de modèles civils, le P4 est un témoignage de l’adaptabilité et de la durabilité de la conception originale de la Classe G.
- Que ce soit pour des applications militaires avec le Peugeot P4 ou pour le luxe et la performance avec la nouvelle G580 électrique, la Classe G continue de démontrer son adaptabilité et son attrait intemporel.
Lancée en 1979, la Mercedes-Benz Classe G ne cesse de captiver les amateurs de véhicules robustes grâce à une durabilité exceptionnelle, confirmée par les chiffres impressionnants de la marque.
Une durabilité à toute épreuve
Lorsqu’il s’agit de longévité, la Mercedes-Benz Classe G est un véritable modèle d’endurance. Le PDG de Mercedes-AMG, Michael Schiebe, lors d’une table ronde, a mis en lumière un fait étonnant : 80 % des Classe G produites sont toujours en circulation. Bien que Mercedes-Benz n’ait pas cité sa source pour cette statistique, la robustesse de ce véhicule est bien connue et peu contestée.
- Fabrication avec une structure portante solide
- Une valeur de revente élevée, renforçant son attrait sur le marché de l’occasion
Si les premiers modèles ont rencontré des problèmes de corrosion, ils bénéficiaient tout de même des moteurs robustes similaires à ceux de certains des modèles les plus durables de Mercedes-Benz, comme la série W123. Avec la construction de la 500 000ème Classe G en avril 2023, plus de 400 000 exemplaires sont encore disponibles, si vous trouvez quelqu’un prêt à s’en séparer.
Innovation et évolution : la Classe G s’électrise
Mercedes-Benz ne cesse d’innover avec sa gamme Classe G, en intégrant récemment une version électrique longtemps attendue, la G580 équipée de la technologie EQ. Bien que ce modèle électrique ne devienne probablement pas un best-seller, compte tenu des volumes relativement faibles de la Classe G, il ouvre des portes à de nouveaux clients potentiels.
- Engagement envers une clientèle exigeante
- Introduction de technologies propres et puissantes
« Nous essayons d’être une entreprise axée sur le client. Nous voulons offrir ce que les clients désirent. Et s’ils demandent des moteurs V8, alors il est de notre devoir de fournir des moteurs V8 très efficaces et puissants », explique Schiebe. Le nouveau modèle électrique de la Classe G crée de nouvelles opportunités pour nos concessionnaires et attire des clients que nous n’avions peut-être pas séduits auparavant.
Un cousin français méconnu : le Peugeot P4
Un chapitre souvent omis de l’histoire de la robustesse de la Classe G est lié à un partenariat franco-allemand moins connu : le Peugeot P4. Ce véhicule tout-terrain, qui trouve ses origines dans les besoins militaires français des années 1970, était basé sur la Classe G et modifié par Peugeot.
- Lancé en 1981, le P4 a été partiellement construit en Autriche avant d’être assemblé en France.
- Équipé d’un moteur diesel quatre cylindres de 2,5 litres provenant de la Peugeot 504 et d’une boîte manuelle quatre vitesses de la 604.
Bien que moins de 14 000 unités aient été produites jusqu’à l’arrêt de la production en 1992, y compris un petit nombre de modèles civils, le P4 est un témoignage de l’adaptabilité et de la durabilité de la conception originale de la Classe G.
La Mercedes-Benz Classe G, avec sa réputation de robustesse et ses capacités améliorées au fil des décennies, reste un exemple remarquable de qualité et de durabilité dans l’industrie automobile. Que ce soit pour des applications militaires avec le Peugeot P4 ou pour le luxe et la performance avec la nouvelle G580 électrique, la Classe G continue de démontrer son adaptabilité et son attrait intemporel.
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